Quand il assuma le poste de chef de police de la région, le général Villavicencia dut combatrre non seulement les `capos´ de la drogue, mais aussi sa propre force policière, qui avait été achetée par un puissant cartel. Presque toute la force commençt une grève pour exiger sa destitution, mais ils terminèrent expulsés y soumis à procès. Le gouvernement était décidé à se défaire des policiers locaux. Le général interdit l'emploi de téléphones mibiles, parce que les policiers les utilisaient pour alerter les Zeta au sujet des patrouillages de l'armée. Il exigea des habitants qu'ils dénoncent les délits à son propre téléphone, car le numéro d'urgences de la ville était aussi utilié par des policiers corrompus pour prendre des représailles.
Averti, il se chargea tout de suite personnellement de l'enquête sur le rapt, non seulement parce qu'il était sûrement le fait de trafiquants -jusqu'alors peu actifs au sud d'Acapulco- mais aussi parce que ce fait était très préjudiciel pour le tourisme, principale ressource économique de la région.
Comme le savaient les policiers fédéraux, les fêtes et les "corridos" (un type de chanson populaire au Mexique) étaient le talon d'Achille des chefs narcos. Ce fut ce qui perdit les séquestreurs et sauvat les captifs. Les musiiciens engagés par les trafiquants pour une fête mirent sur YouTube la chanson "Le capo du séquestre", qui relatait les aventures de "Vincent", un des principaux lieutenants de Teófilo López, alias "Le banquier", l'homme fort de lavage de monnaie des Zetas. Le vidéo montrait les musiciens, une partie de l'assistance -et entr'eux le sujet de l'hommage- et le fond permettait d'individualiser la maison où avait lieu la fête. Le texte faisait aussi allusion aux "touristes invités".
Entre temps, ils avaient donné l'instruction à la femme de Mézière de simuler le payement. Le coup de téléphone des capteurs pour lui donner des instructions fut enregistrée et on put y reconnaître la voix de Gamboa lui-même, ce qui le liait définitivement au délit et confirmait sa proche présence. Le général Villavicencia planifiat alors l'assault simultané à la villa identifiée et au lieu de payement de la rançon, au moment même où celui-çi devait se réaliser. Ses hommes prirent position avec beuacoip d'avance et le le plus grans secret, pour éviter d'être découverts. Quand un Hummer s'arrêta à côté de madame Mézière pour recevoir la sac suuposé contenir l'argent, les fédéraux abattirent le soldat narco qui était descendu et bloquèrent le véhicule, capturant le chauffeur et un autre acompagnant, qui ne purent utiliser leurs armes, tant ils furent pris par surprise. Simultanément, avertie par radio, la force qui encerclait la maison de Gamboa procédait à l'assault, se produisant une cruelle confrontation avec le contingent de gardes du corps du trafiquant. Celui-çi tentat de s'échapper par un tunnel, mais l'avancée des policiers avait pu entrer très rapidement et avait découvert sans difficulté le tunnel, suivant sa piste de près, car -dans sa précipitation et suivit de près- il n'avait pas pris le temps de bloquer et recamouffler l'entrée du tunnel. Quand les hommes l'attrapèrent, Vincent, de 32 ans, était vêtu d'un impeccable ensemble sportif de marque Abercrombie, à peine un peu souillé par la friction avec l'une ou l'autre paroi du tunnel, et de chères sandales de basquet qui faisaient jeu.
Dans leur cellule, les séquestrés entendirent subitement un échange de coups de feu. Peu après, la porte s'ouvrit et de puissantes torches les illuminairent. Les hommes qui entrèrent étaient vêtus de noir et portaient des passe-montagne, le tout rendant impossible de les identifier. Ce serainte les embres d'un autre cartel? Les attaques mutuelles étaient fréquentes (au point qu'on les appelle "des mexicaines" dans le milieu de la drogue de tout le continent). Mais ils annoncèrent immédiatement aux prisonniers qu'ils étaient libres et ne devaient pas avoir peur de sortir, car la police fédérale avait désarmé ou abattu tous les délinquants.
Le jour suivant, divers journaux belges et français rendaient compte de la libération d'André Mézière, propriétaire d'une discothèque à la station balnéaire de Cancun, qui avait été kidnappé en compagnie du détective belge Joseph Trompel -en vacances au Mexique- et pour qui les ravisseurs avaient exigé une rançon d'un million de dollars, avaient été libérés par la police fédérale mexicaine.
Averti, il se chargea tout de suite personnellement de l'enquête sur le rapt, non seulement parce qu'il était sûrement le fait de trafiquants -jusqu'alors peu actifs au sud d'Acapulco- mais aussi parce que ce fait était très préjudiciel pour le tourisme, principale ressource économique de la région.
Comme le savaient les policiers fédéraux, les fêtes et les "corridos" (un type de chanson populaire au Mexique) étaient le talon d'Achille des chefs narcos. Ce fut ce qui perdit les séquestreurs et sauvat les captifs. Les musiiciens engagés par les trafiquants pour une fête mirent sur YouTube la chanson "Le capo du séquestre", qui relatait les aventures de "Vincent", un des principaux lieutenants de Teófilo López, alias "Le banquier", l'homme fort de lavage de monnaie des Zetas. Le vidéo montrait les musiciens, une partie de l'assistance -et entr'eux le sujet de l'hommage- et le fond permettait d'individualiser la maison où avait lieu la fête. Le texte faisait aussi allusion aux "touristes invités".
- Le journal "EL Mercurio", de Santiago, informa le 27 décembre 2009 que des musiciens avaient mis sur YouTibe la chanson "Le plus brave des braves", où ils racontaient les aventures de Raydel López, "Le Béquilles", un des principaux lieutenants de Teodoro García Simental, "Le Théo", ex-tête du cartel de Tijuana.
Entre temps, ils avaient donné l'instruction à la femme de Mézière de simuler le payement. Le coup de téléphone des capteurs pour lui donner des instructions fut enregistrée et on put y reconnaître la voix de Gamboa lui-même, ce qui le liait définitivement au délit et confirmait sa proche présence. Le général Villavicencia planifiat alors l'assault simultané à la villa identifiée et au lieu de payement de la rançon, au moment même où celui-çi devait se réaliser. Ses hommes prirent position avec beuacoip d'avance et le le plus grans secret, pour éviter d'être découverts. Quand un Hummer s'arrêta à côté de madame Mézière pour recevoir la sac suuposé contenir l'argent, les fédéraux abattirent le soldat narco qui était descendu et bloquèrent le véhicule, capturant le chauffeur et un autre acompagnant, qui ne purent utiliser leurs armes, tant ils furent pris par surprise. Simultanément, avertie par radio, la force qui encerclait la maison de Gamboa procédait à l'assault, se produisant une cruelle confrontation avec le contingent de gardes du corps du trafiquant. Celui-çi tentat de s'échapper par un tunnel, mais l'avancée des policiers avait pu entrer très rapidement et avait découvert sans difficulté le tunnel, suivant sa piste de près, car -dans sa précipitation et suivit de près- il n'avait pas pris le temps de bloquer et recamouffler l'entrée du tunnel. Quand les hommes l'attrapèrent, Vincent, de 32 ans, était vêtu d'un impeccable ensemble sportif de marque Abercrombie, à peine un peu souillé par la friction avec l'une ou l'autre paroi du tunnel, et de chères sandales de basquet qui faisaient jeu.
Dans leur cellule, les séquestrés entendirent subitement un échange de coups de feu. Peu après, la porte s'ouvrit et de puissantes torches les illuminairent. Les hommes qui entrèrent étaient vêtus de noir et portaient des passe-montagne, le tout rendant impossible de les identifier. Ce serainte les embres d'un autre cartel? Les attaques mutuelles étaient fréquentes (au point qu'on les appelle "des mexicaines" dans le milieu de la drogue de tout le continent). Mais ils annoncèrent immédiatement aux prisonniers qu'ils étaient libres et ne devaient pas avoir peur de sortir, car la police fédérale avait désarmé ou abattu tous les délinquants.
Le jour suivant, divers journaux belges et français rendaient compte de la libération d'André Mézière, propriétaire d'une discothèque à la station balnéaire de Cancun, qui avait été kidnappé en compagnie du détective belge Joseph Trompel -en vacances au Mexique- et pour qui les ravisseurs avaient exigé une rançon d'un million de dollars, avaient été libérés par la police fédérale mexicaine.
- Note
En 2009, un entrepreneur belge spécialisé dans la gestion de boîtes de nuit a effectivement été enlevé à Guadalajara, dans l'ouest du Mexique, et ensuite libéré, deux de ses ravisseurs ayant été capturés, selon La Libre Belgique, qui rendit compte d'une information du secrétariat (ministère) mexicain à la Sécurité Publique. Un des ravisseurs était un ex-policier qui appartenaient à une bande criminelle appelée "Les Chacals", connue pour ses méthodes violentes.
On a enregistré officiellement un millier d'enlèvements au Mexique en 2008, mais les experts indépendants estiment qu'il y en a eu trois fois plus, compte tenu du nombre de cas non déclarés à la police, dans lesquels les familles traitent directement avec les ravisseurs.