Pendant le trajet de retour, Trompel pensa qu'il avait vu assez pour être plus intéressé par le chalet que par la grosse maison du parc Josaphat. Cette dernière était trop grande pour un veuf y de maintien trop coûteux. Mais il serait agréable de pouvoir se réfigier au chalet les week-end, en vacances ou à la fin d'une enquête particulièrement dure. Le paysage était très beau, tout vert en été et aurait les collines voisines couvertes de neige en hiver.
Il arriva à Bruxelles-Centrale au milieu de l'après-midi. Il avait mis à son porte-clé les clés des deux maisons et put donc se diriger de suite au quartier Josaphat sans avoir à passer les chercher à son bureau. Il print ainsi le bus 66, qui passait par la gare et le laissait au coin proche de la maison. En y introduisant ses clés, il se rendit compte que les serrures avaient été forcées car elles avaient des traces bien visibles d'effraction. Dans le vestibule, il ne vit riend d'anormal mais en entrant dans lebureau, il vit le même désordre qu'à Spa, ou bien pire car il y avait bien plus de choses et on avait vidé par terre tous les tiroirs et la bibliothèque.
Il se rappela alors ces mots de Lefranc dans son message postume: "Il y aura des gens désireux de vous compliquer la vie". Il avait, sans aucun doute, eu de la chance d'être arrivé le premier quand il avait découvert la crypte secrète. Mais les bandits l'avaient suivi de près. Il jeta un coup d'oeil dans les autres pièces du rez-de-chaussée et toutes étaient dans le même état. Il ne se donna pas la peine de monter, mais descendit au sous-sol, se demandant ce qu'ils auraient fait dans la crypte. Il se souvenait bien qu'il ne l'avait pas refermée, ne pensant jamais qu'un intrus pourrait y pénétrer. Il parcourut donc le trajet qui lui avait été si difficile de découvrir la première fois. Et sut que, sans nul doute, les ind´sesirable étaient passés par là: le passage secret était à nouveau caché, alors qu'il aurait dû être ouvert.
Il bougea l'ancre de la parois, l'ouvrant à nouveau, et descendit vers la porte, aussi fermée, mais qu'il put ouvrir sans clé. En entrant, il vit de suite un corps sur le sol. S'approchant, il le toucha, constatant qu'il était froid. Mais il ne lui voyait aucune blessure, pas plus que du sang par terre. Il ne voulut pas le bouger, savant que la disposition était importante pour la police. Il regarda autour de lui et vit que l'ordinateur manquait: l'écran et le clavier étaient là mais on avait retiré la CPU. Ils pensaient donc trouver quelque chose dans le PC! Mais quoi? S'ils étaient capables de réponse aux questions de Lefranc, si le test fonctionnait encore, connaître les dernières dispositions du testament ne leur servirait de rien! Ils connaissaient déjà la segonde résidence de Lefranc, puisqu'ils l'avaient déjà visitée et l'adressen n'en était pas dans cet ordinateur puisque ce fut le notaire qui la donna à Trompel. Ils pensaient sûrement y trouver autre chose, qu'il n'avaient pas trouvé ailleurs. Et que faisait là ce mort? Sans doute ils l'avaient abandonné de peur d'être vus en le sortant de la maison.
Trompel remonta alors au bureau et téléphona à son ami, le comissaire Servais. Comme c'était dimanche, il le trouva chez lui et non au bureau. Il lui raconta ce qui était arrivé à Spa puis à la maison du boulevard Lambermont. Servais lui dit de ne pas bouger et d'attendre l'équipe technique qu'il enverrait tout de suite. Il irait personnellement diriger l'enquête.
Une edemi-heure après, les détectives étaient sur place et commençaient le processus de recherche d'empreintes, de photographie et révision du cadavre, etc. Quand, finalement, on retira celui-çi, un message apparut en dessous, écrit par terre: "Avec nos bons souvenirs, mr Trompel", en espagnol, malgré qu'on était à Bruxelles. Qu'est-ce que cela signifiait?
Il arriva à Bruxelles-Centrale au milieu de l'après-midi. Il avait mis à son porte-clé les clés des deux maisons et put donc se diriger de suite au quartier Josaphat sans avoir à passer les chercher à son bureau. Il print ainsi le bus 66, qui passait par la gare et le laissait au coin proche de la maison. En y introduisant ses clés, il se rendit compte que les serrures avaient été forcées car elles avaient des traces bien visibles d'effraction. Dans le vestibule, il ne vit riend d'anormal mais en entrant dans lebureau, il vit le même désordre qu'à Spa, ou bien pire car il y avait bien plus de choses et on avait vidé par terre tous les tiroirs et la bibliothèque.
Il se rappela alors ces mots de Lefranc dans son message postume: "Il y aura des gens désireux de vous compliquer la vie". Il avait, sans aucun doute, eu de la chance d'être arrivé le premier quand il avait découvert la crypte secrète. Mais les bandits l'avaient suivi de près. Il jeta un coup d'oeil dans les autres pièces du rez-de-chaussée et toutes étaient dans le même état. Il ne se donna pas la peine de monter, mais descendit au sous-sol, se demandant ce qu'ils auraient fait dans la crypte. Il se souvenait bien qu'il ne l'avait pas refermée, ne pensant jamais qu'un intrus pourrait y pénétrer. Il parcourut donc le trajet qui lui avait été si difficile de découvrir la première fois. Et sut que, sans nul doute, les ind´sesirable étaient passés par là: le passage secret était à nouveau caché, alors qu'il aurait dû être ouvert.
Il bougea l'ancre de la parois, l'ouvrant à nouveau, et descendit vers la porte, aussi fermée, mais qu'il put ouvrir sans clé. En entrant, il vit de suite un corps sur le sol. S'approchant, il le toucha, constatant qu'il était froid. Mais il ne lui voyait aucune blessure, pas plus que du sang par terre. Il ne voulut pas le bouger, savant que la disposition était importante pour la police. Il regarda autour de lui et vit que l'ordinateur manquait: l'écran et le clavier étaient là mais on avait retiré la CPU. Ils pensaient donc trouver quelque chose dans le PC! Mais quoi? S'ils étaient capables de réponse aux questions de Lefranc, si le test fonctionnait encore, connaître les dernières dispositions du testament ne leur servirait de rien! Ils connaissaient déjà la segonde résidence de Lefranc, puisqu'ils l'avaient déjà visitée et l'adressen n'en était pas dans cet ordinateur puisque ce fut le notaire qui la donna à Trompel. Ils pensaient sûrement y trouver autre chose, qu'il n'avaient pas trouvé ailleurs. Et que faisait là ce mort? Sans doute ils l'avaient abandonné de peur d'être vus en le sortant de la maison.
Trompel remonta alors au bureau et téléphona à son ami, le comissaire Servais. Comme c'était dimanche, il le trouva chez lui et non au bureau. Il lui raconta ce qui était arrivé à Spa puis à la maison du boulevard Lambermont. Servais lui dit de ne pas bouger et d'attendre l'équipe technique qu'il enverrait tout de suite. Il irait personnellement diriger l'enquête.
Une edemi-heure après, les détectives étaient sur place et commençaient le processus de recherche d'empreintes, de photographie et révision du cadavre, etc. Quand, finalement, on retira celui-çi, un message apparut en dessous, écrit par terre: "Avec nos bons souvenirs, mr Trompel", en espagnol, malgré qu'on était à Bruxelles. Qu'est-ce que cela signifiait?