Le lendemain, le journal "La Dernière Heure" dépliait un énorme titre: "Miss 17 victime d'en assassin en série", accompagné d'une photo de la jeune fille et du symbole tatoué sur sa poitrine.
- Comment ont-ils obtenu cette information? -demanda Servais à Jef trompel, qui avait travaillé à ce même journal avant d'être détective.- A peine ais-je vu le journal, j'ai téléphoné au chef de rédaction -répondit-il-, et il m'a dit qu'un appel anonyme les avait alerté et qu'ils avaient été à Peer, y arrivant avant la police. Il s'était passé la même chose avec la miss Univers. Je ne serais pas étonné que ce soit l'assassin lui-même qui les avertit.
- Avec cela, les relations avec la presse seront bien plus difficiles.
- Je n'en doute pas.
Trompel ne s'était pas trompé. Le jour suivant, "La Dernière Heure" avait mis un nom à ce qu'elle présentait comme une série de meurtres: "le cas des tétons", faisant allusion tant aux tatouages interprété comme lettre theta comme au sein des femmes, où elle était marquée. Le reste de la presse assuma le nom, pour la désespération de la police et des familles affectées.