Chapitre 6. Le péché originel
Plus il lisait, plus Trompel était surpris. Comment était-il posible qu'aucun cours d'histoire ne parlait de ces textes sumériens et de la civilisation des "dieux" venus du ciel? Sans doute y a-t'il peu d'archéologues convaincus, du fait même qu'il y a très peu de spécialistes capables de lire les anciennes tablettes. Pourtant, elles expliquent pas mal de choses, aussi, sur les origines des religions. Il s'était toujours demandé pourquoi on avait mis Dieu dans le ciel et avait pensé que cela venait peut-être du dieu-soleil égyptien. Mais l'explication était claire maintenant: les dyaus étaient descendus du "ciel": de l'orbite terrestre.
Il était aussi encore plus surpris par le récit de la création et sa cohérence vaec la bible. Il n'aurait jamais crû que l'humanité était en réalité une création en partie artificielle, produit de la science génétique q'une race venue de l'espace. Mais c'était ce que les textes sumériens faisaient clairement savoir. Et les archéologues et membres de l'équipe de Pollion semblaient y croire totalement.
En ce moment lui arriva une demande de visioconférence. C'était Gordon Harris qui lui répondait du Mexique. A la demande de Trompel, il expliqua que Heinz Kauffman était encore à Dubaï, où il continuait à étudier les tablettes découvertes au fond du golfe. L'allemand l'avait contacté par internet, très excité, parce que les dernières tablettes qu'il traduisait complétaient le récit dont on connaissait déjà quelques fragments en version summérienne sous le nom d'Épopée de Gilgamesh et auxquelles correspondaient aussi le texte -assez réduit et cryptique- du troisième chapitre du livre de la Genèse consacré au "péché originel" et à l'expulsion du paradis.
- Kauffman m'a envoyé une copie de sa traduction. Elle est fascinante! Si cela vous intéresse, je vous envoye aussi une copie.
-Faites-le et merci! Cette étude me fascine aussi beaucoup. Mon adresse est jeftrompel@gmail.com. Est-ce que Kauffman sait quelque chose de Pollion?
- Je l'ai interrogé et il m'a dit qu'ils n'étaient pas retournés au golfe et que Pollion était parti pour l'Inde, parce qu'une des tablettes parlait d'un dyaus qui y fut envoyé en exil et s'y était établi près de la désembouchure d'un grand fleuve. Mais il n'a pas de nouvelles de lui depuis. Il pensait qu'il était déjà de retour à Louvain.
- Si Kauffman est encore à Dubai, cela explique que je n'ai pas pu le contacter. Comment pourrais-je parler avec lui?
- Je vais vous donner ses coordonnées à Dubai, mais en ce moment, selon ce qu'il m'a dit, il devrait être en train de faire ses valises et il sera rentré en Allemagne dans un ou deux jours.
Trompel prit note de ces données. Entre temps un fichier comprimé éstait arrivé à sa boîte aus lettres électronique. C'était le recit reconstitué des tablettes avec la version primitive du mythe de Gilgamesh.
Il était aussi encore plus surpris par le récit de la création et sa cohérence vaec la bible. Il n'aurait jamais crû que l'humanité était en réalité une création en partie artificielle, produit de la science génétique q'une race venue de l'espace. Mais c'était ce que les textes sumériens faisaient clairement savoir. Et les archéologues et membres de l'équipe de Pollion semblaient y croire totalement.
En ce moment lui arriva une demande de visioconférence. C'était Gordon Harris qui lui répondait du Mexique. A la demande de Trompel, il expliqua que Heinz Kauffman était encore à Dubaï, où il continuait à étudier les tablettes découvertes au fond du golfe. L'allemand l'avait contacté par internet, très excité, parce que les dernières tablettes qu'il traduisait complétaient le récit dont on connaissait déjà quelques fragments en version summérienne sous le nom d'Épopée de Gilgamesh et auxquelles correspondaient aussi le texte -assez réduit et cryptique- du troisième chapitre du livre de la Genèse consacré au "péché originel" et à l'expulsion du paradis.
- Kauffman m'a envoyé une copie de sa traduction. Elle est fascinante! Si cela vous intéresse, je vous envoye aussi une copie.
-Faites-le et merci! Cette étude me fascine aussi beaucoup. Mon adresse est jeftrompel@gmail.com. Est-ce que Kauffman sait quelque chose de Pollion?
- Je l'ai interrogé et il m'a dit qu'ils n'étaient pas retournés au golfe et que Pollion était parti pour l'Inde, parce qu'une des tablettes parlait d'un dyaus qui y fut envoyé en exil et s'y était établi près de la désembouchure d'un grand fleuve. Mais il n'a pas de nouvelles de lui depuis. Il pensait qu'il était déjà de retour à Louvain.
- Si Kauffman est encore à Dubai, cela explique que je n'ai pas pu le contacter. Comment pourrais-je parler avec lui?
- Je vais vous donner ses coordonnées à Dubai, mais en ce moment, selon ce qu'il m'a dit, il devrait être en train de faire ses valises et il sera rentré en Allemagne dans un ou deux jours.
Trompel prit note de ces données. Entre temps un fichier comprimé éstait arrivé à sa boîte aus lettres électronique. C'était le recit reconstitué des tablettes avec la version primitive du mythe de Gilgamesh.