Les documents suivants trouvés par Trompel semblaient être des récits faits par des scribes des expéditions colonisatrices des nefilim et contenaient aussi des extraits d'antiques tablettes couvertes de caractères cunéiformes trouvées en Mésopotamie.
« La huitième année de la colonisation du système Shamash, nous avons placé notre vaisseau en orbite autour de Shugi, sa troisième planète. Le moment était venu de commencer l'ultime phase de notre mission: nous établir sur la planète bleue. Le chef de la mission serait le nefilim Enlil, qui devrait gouverner l'ensemble des bases de la Terre, alors que le kentoi Anu resterait dans la station orbitale permanente. Piter, chargé du commandement suprême de notre présence dans tout ce système solaire, continuait pour sa part dans le vaisseau hyperspatial, voyageant régulièrement d'une planète à l'autre jusqu'à ce que toutes les colonies soient stabilisées. Il devait ensuite rentrer à Omyx, dès que l'alignement des ondes de la quatrième dimension soit l'adéquate. »
[ Gravure sumérienne jointe: "La nef circulaire, avec sa partie supérieure semblable à une couronne et ses ailes et antennes étendues, est située dans les cieux, entre Mars (l'étoile de six pointes), la Terre et la Lune. Sur la Terre, une divinité étend sa main, recevant un astronaute qui est encore dans le ciel, près de Mars. L'astronaute est montré portant un casque avec viseur et une cuirasse. La partie inférieure de son costume est comme celui d'un homme-grenouille, peut-être une exigence en vue d'un éventuel amerrissage d'urgence dans l'océan. Dans une main, il porte un instrument; dans l'autre, il semble répondre au salut de la Terre." (De Sitchin, p.143) ]
Continue le récit de l'explorateur extraterrestre:
« Nos explorateurs aériens avaient déjà exploré toute la planète avec de multiples instruments et nous avions des cartes physiques, thermiques et magnétiques complètes. Nous savions ainsi que nous pouvions compter là sur deux grandes sources d'énergie rénovable: solaire et magnétique. Cette dernière était particulièrement intéressante et pratique parce qu'elle serait pour nous une source permanente d'électricité facile à utiliser. Pour cette raison, nous décidâmes de construire au plus tôt des installations génératrices sur les vortex magnétiques de la planète. Ceux-çi, heureusement, étaient dans une frange située un peu plus au nord de l'équateur, là où se terminaient les grands glaciers qui descendaient depuis le pôle nord. Les sondages automatiques montraient qu'il y avait une lente fonte des glaces, ce qui permettrait de gagner du terrain utile pour le développement de l'agriculture et de l'élevage, pour lesquelles il y avait, à notre arrivée, peu de place. Au sud, il y avait des savanes et des forêts dont le sol ne paraissait pas adéquat et seraient loin des sources d'énergie magnétique et d'une autre, importante pour beaucoup de véhicules: le pétrole.
Les premières descentes se firent en navettes amphibies. Un travail dur serait nécessaire pour construire les énormes plateformes solides nécessaires pour aterrir et décoller avec des engins qui puissent retourner vers la station orbitale. Cette première mission fut confiée à Enki, le chef (dyaus) des ingénieurs, et plusieurs navettes furent lancées vers la première zone choisie, un endroit appellé HA.A.KI ("lieu des poissons-eau"), aux abords de terres marécageuses d'excellent climat.
Sur une montagne d'une péninsule [le Sinaï] située vers l'ouest, on installa un petit centre de contrôle de vol et, plus loin, au bord d'un autre grand fleuve, on construisit la première base énergétique, en forme de pyramide. Une fois édifée, elle transmettait l'énergie au centre de contrôle, lequel, depuis, comptait avec de puissants instruments de communication et de défense. » [Voir CHILDRESS, D.: Les technologies des dieux, 2004]
« La huitième année de la colonisation du système Shamash, nous avons placé notre vaisseau en orbite autour de Shugi, sa troisième planète. Le moment était venu de commencer l'ultime phase de notre mission: nous établir sur la planète bleue. Le chef de la mission serait le nefilim Enlil, qui devrait gouverner l'ensemble des bases de la Terre, alors que le kentoi Anu resterait dans la station orbitale permanente. Piter, chargé du commandement suprême de notre présence dans tout ce système solaire, continuait pour sa part dans le vaisseau hyperspatial, voyageant régulièrement d'une planète à l'autre jusqu'à ce que toutes les colonies soient stabilisées. Il devait ensuite rentrer à Omyx, dès que l'alignement des ondes de la quatrième dimension soit l'adéquate. »
[ Gravure sumérienne jointe: "La nef circulaire, avec sa partie supérieure semblable à une couronne et ses ailes et antennes étendues, est située dans les cieux, entre Mars (l'étoile de six pointes), la Terre et la Lune. Sur la Terre, une divinité étend sa main, recevant un astronaute qui est encore dans le ciel, près de Mars. L'astronaute est montré portant un casque avec viseur et une cuirasse. La partie inférieure de son costume est comme celui d'un homme-grenouille, peut-être une exigence en vue d'un éventuel amerrissage d'urgence dans l'océan. Dans une main, il porte un instrument; dans l'autre, il semble répondre au salut de la Terre." (De Sitchin, p.143) ]
Continue le récit de l'explorateur extraterrestre:
« Nos explorateurs aériens avaient déjà exploré toute la planète avec de multiples instruments et nous avions des cartes physiques, thermiques et magnétiques complètes. Nous savions ainsi que nous pouvions compter là sur deux grandes sources d'énergie rénovable: solaire et magnétique. Cette dernière était particulièrement intéressante et pratique parce qu'elle serait pour nous une source permanente d'électricité facile à utiliser. Pour cette raison, nous décidâmes de construire au plus tôt des installations génératrices sur les vortex magnétiques de la planète. Ceux-çi, heureusement, étaient dans une frange située un peu plus au nord de l'équateur, là où se terminaient les grands glaciers qui descendaient depuis le pôle nord. Les sondages automatiques montraient qu'il y avait une lente fonte des glaces, ce qui permettrait de gagner du terrain utile pour le développement de l'agriculture et de l'élevage, pour lesquelles il y avait, à notre arrivée, peu de place. Au sud, il y avait des savanes et des forêts dont le sol ne paraissait pas adéquat et seraient loin des sources d'énergie magnétique et d'une autre, importante pour beaucoup de véhicules: le pétrole.
Les premières descentes se firent en navettes amphibies. Un travail dur serait nécessaire pour construire les énormes plateformes solides nécessaires pour aterrir et décoller avec des engins qui puissent retourner vers la station orbitale. Cette première mission fut confiée à Enki, le chef (dyaus) des ingénieurs, et plusieurs navettes furent lancées vers la première zone choisie, un endroit appellé HA.A.KI ("lieu des poissons-eau"), aux abords de terres marécageuses d'excellent climat.
Sur une montagne d'une péninsule [le Sinaï] située vers l'ouest, on installa un petit centre de contrôle de vol et, plus loin, au bord d'un autre grand fleuve, on construisit la première base énergétique, en forme de pyramide. Une fois édifée, elle transmettait l'énergie au centre de contrôle, lequel, depuis, comptait avec de puissants instruments de communication et de défense. » [Voir CHILDRESS, D.: Les technologies des dieux, 2004]