Ecologie Nouvelle
"A échelle humaine, nous avons déjà dépassé le point de non-retour du changement climatique." (Adeline Marcos, agenciasinc.es)
Ainsi l'a affirmé Thomas Stocker, chercheur de l'Université de Berne (Suisse) pendant le congrès sur "Les changements climatiques brusques, science et moyens de communication", organisé par le CSIC (Espagne) et inauguré le 5 juin 2012. (http://www.agenciasinc.es)
1.
- Joseph Trompel, vous êtes arrêté. Vous pouvez garder silence mais si vous parlez, tout ce que vous direz pourra être utilisé contre vous dans un tribunal.
- Arrêté? Mais pourquoi? Je n'ai commis aucun délit! Vous savez que je suis policier!
- Ex-policier! Vous êtes suspendu de vos fonctions et en condition d'accusé. On vous accuse d'avoir assassiné le ministre de l'Ecologie.
De l'écologie? -se demanda intérieurement Trompel-. Je ne savais même pas qu'existait ce ministère! Une invention récente des Verts, qui venaient de gagner les élections régionales?
Il était dans sa cabane de Spa, qu'il avait hérité d'Antoine Lefranc (voir "L'héritage"). Il y était arrivé la veille au soir et avait su de l'assassinat d'un ministre par un 'flash' télévisé, peu avant de se coucher, mais on n'avait pas donné de détails.
- Je suis arrivé ici hier soir et j'ai su ici la nouvelle de ce crime. Comment puis-je être impliqué?
- Vous croyez que nous ne savons pas que vous êtes venu ici pour vous cacher après votre forfait? Que nous ne connaîtrions pas ce domicile?
Personne, en effet, sauf le comissaire Servais, ne connaissais l'existence de son refuge dans les Ardennes. Ainsi, ils avaient déà parlé avec son chef.
- Vous aviez accès au ministre et nous avons un témoin qui vous situe sur le lieu du crime. Nous avons aussi votre pistolet, avec vos empreintes, que vous avez jetté dans un égoût un pâté de maisons plus loin.
Il avait laissé son pistolet dans son appartement de Bruxelles. Quelqu'un avait pu entrer là et l'avoir volé, pour l'impliquer. Quelqu'un assez furieux et assez préparé pour tendre ce genre de piège. Mais qui? Comment pourrait-il enquêter s'il était en garde à vue?
Se résister à l'arrestation ne ferait qu'empirer les choses, et il accompagna donc les agents des Affaires Internes, qui le ramenèrent à Bruxelles. Durant le trajet, il essaya de poser des questions pour en savoir plus, mais on refusa de lui répondre.
Ainsi l'a affirmé Thomas Stocker, chercheur de l'Université de Berne (Suisse) pendant le congrès sur "Les changements climatiques brusques, science et moyens de communication", organisé par le CSIC (Espagne) et inauguré le 5 juin 2012. (http://www.agenciasinc.es)
1.
- Joseph Trompel, vous êtes arrêté. Vous pouvez garder silence mais si vous parlez, tout ce que vous direz pourra être utilisé contre vous dans un tribunal.
- Arrêté? Mais pourquoi? Je n'ai commis aucun délit! Vous savez que je suis policier!
- Ex-policier! Vous êtes suspendu de vos fonctions et en condition d'accusé. On vous accuse d'avoir assassiné le ministre de l'Ecologie.
De l'écologie? -se demanda intérieurement Trompel-. Je ne savais même pas qu'existait ce ministère! Une invention récente des Verts, qui venaient de gagner les élections régionales?
Il était dans sa cabane de Spa, qu'il avait hérité d'Antoine Lefranc (voir "L'héritage"). Il y était arrivé la veille au soir et avait su de l'assassinat d'un ministre par un 'flash' télévisé, peu avant de se coucher, mais on n'avait pas donné de détails.
- Je suis arrivé ici hier soir et j'ai su ici la nouvelle de ce crime. Comment puis-je être impliqué?
- Vous croyez que nous ne savons pas que vous êtes venu ici pour vous cacher après votre forfait? Que nous ne connaîtrions pas ce domicile?
Personne, en effet, sauf le comissaire Servais, ne connaissais l'existence de son refuge dans les Ardennes. Ainsi, ils avaient déà parlé avec son chef.
- Vous aviez accès au ministre et nous avons un témoin qui vous situe sur le lieu du crime. Nous avons aussi votre pistolet, avec vos empreintes, que vous avez jetté dans un égoût un pâté de maisons plus loin.
Il avait laissé son pistolet dans son appartement de Bruxelles. Quelqu'un avait pu entrer là et l'avoir volé, pour l'impliquer. Quelqu'un assez furieux et assez préparé pour tendre ce genre de piège. Mais qui? Comment pourrait-il enquêter s'il était en garde à vue?
Se résister à l'arrestation ne ferait qu'empirer les choses, et il accompagna donc les agents des Affaires Internes, qui le ramenèrent à Bruxelles. Durant le trajet, il essaya de poser des questions pour en savoir plus, mais on refusa de lui répondre.