En complément de ce qui précède et de ce qui suit, il convient de lire l'information suivante que nous offre Z.Sitchin:
"Dans des textes sumériens qui décrivent Sippar, on raconte qu'il y avait une partie centrale, occulte et protégée par de puissants murs, à l'intérieur de la quelle s'élevait le Temple d'Utu, «une maison qui est comme une maison des Cieux». Dans la cour intérieure de ce temple, aussi protégée par de hauts murs, était «debout vers le haut, le puissant APIN» («un objet qui sillone», selon les traducteurs).
Sur un dessin trouvé dans le monticule du temple d'Anu à Uruk, on voit un de ces objets. Il y a quelques décades, il aurait été difficile de deviner ce qu'était cet objet, mais, maintenant, nous pouvons reconnaître en lui une fusée spatiale de plusieurs étapes, au faîte de laquelle repose le MU conique ou cabine de commande.
Les preuves de ce que les "dieux" de Sumer possédaient non seulement des «chambres volantes» pour parcourir les cieux de la Terre mais aussi des fusées à étapes pour aller vers l'espace, émergent de l'examen des textes où sont décrits les objets sacrés du temple d'Utu à Sippar. On nous raconte qu'aux témoins du tribunal suprême de Sumer on faisait prêter serment dans une cour intérieure, près d'un portique au travers duquel ils pouvaient voir trois «objets divins», qui avaient pour nom «la sphère dorée» (la cabine de l'équipage?), le GIR et l'alikmahrati -un terme qui, littéralement, signifie «impulseur qui fait aller les nefs», ou ce que nous apellerions «moteur»." ("El 12º planeta", p.89).
"Dans des textes sumériens qui décrivent Sippar, on raconte qu'il y avait une partie centrale, occulte et protégée par de puissants murs, à l'intérieur de la quelle s'élevait le Temple d'Utu, «une maison qui est comme une maison des Cieux». Dans la cour intérieure de ce temple, aussi protégée par de hauts murs, était «debout vers le haut, le puissant APIN» («un objet qui sillone», selon les traducteurs).
Sur un dessin trouvé dans le monticule du temple d'Anu à Uruk, on voit un de ces objets. Il y a quelques décades, il aurait été difficile de deviner ce qu'était cet objet, mais, maintenant, nous pouvons reconnaître en lui une fusée spatiale de plusieurs étapes, au faîte de laquelle repose le MU conique ou cabine de commande.
Les preuves de ce que les "dieux" de Sumer possédaient non seulement des «chambres volantes» pour parcourir les cieux de la Terre mais aussi des fusées à étapes pour aller vers l'espace, émergent de l'examen des textes où sont décrits les objets sacrés du temple d'Utu à Sippar. On nous raconte qu'aux témoins du tribunal suprême de Sumer on faisait prêter serment dans une cour intérieure, près d'un portique au travers duquel ils pouvaient voir trois «objets divins», qui avaient pour nom «la sphère dorée» (la cabine de l'équipage?), le GIR et l'alikmahrati -un terme qui, littéralement, signifie «impulseur qui fait aller les nefs», ou ce que nous apellerions «moteur»." ("El 12º planeta", p.89).
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Le péché de Gilgamesh n'est pas le seul dont il y a trace dans la Bible. Les textes sumériens rendent aussi compte d'un châtiment divin comparable lors de la construction de la Tour de Babel. Son sens ultime serait, cependant, relatif à la présence des nefilims et de leur monopole de la relation avec «le ciel».
Selon le texte babylonien connu comme «L'Epopée de la Création», les nefilims auraient mis deux ans, travaillant sans repos, pour accomplir la mission suivante:
Ainsi, la première base de lancement fut construite en un lieu nommé Babili (d'où le nom de Babylone), qui signifie littéralement «Porte des Dieux». Pour cela, ils «appliquèrent l'outil... formèrent des briques»- jusqu'à «élever dans les hauteurs le sommet d'Eshagila» («maison des Grands Dieux») y «construisèrent la tour de la plateforme haute comme le Haut Ciel». (Z.Sitchin: "El 12ª Planeta", p.79-80)
Les hommes, le temps passant, auraient eu l'effronterie de tenter de construire eux-même une tour de lancement et un «véhicule aérien» pour voler eux aussi comme les dyaus «au-dessus des toutes les terres habitées».
Suite à ce que la construction de la tour et de la pseudo-fusée qui était en réalité la preuve du désir humain d'"aller au ciel", les dyaus se fâchèrent et décidèrent d'expulser tous les humains des villes qu'ils avaient fondées et qui, maintenant, incluaient de grands jardins (comme les fameux "jardins suspendus de Babylone"). Ainsi, les hommes furent exclus du "paradis terrestre" que de telles cités constituaient pour eux.
Pour qu'ils comprennent une bonne fois qu'ils ne pouvaient aspirer à monter au ciel ni imiter les dyaus, Piter fit tomber sur leur tour un de ses fameux rayons, qui la réduisit en cendres, comme l'aurait fait une bombe atomique mais sans aucun effet de radiation dans les alentours. Ensuite, un "législateur" fut envoyé à tous les campements humains pour rappeler à leurs chefs les lois qui s'imposaient à tous depuis de le début de leur installation en Mésopotamie et pour en dicter de nouvelles.
Une ancienne «tablette de la sagesse» suggérait le comportement suivant:
[Image adjointe: La donnée des lois (le fameux "Code d'Hammurabi")]
Comme les néfiliens avaient toujours besoin de vituailles, ils imposèrent aussi aux hommes l'obligation de leur donner la dîme de tout ce qu'ils produisaient et nommèrent des intendants pour réunir les produits. Ils imposèrent de plus un double système de travail obligatoire. Le premier obligeait tous les hommes à dédier au moins cinq ans de leur vie à travailler exclusivement au service des anunnakis. Après cette période pour les hommes et après leurs quatorce ans pour les femmes, le travail pour les dyaus se répartissait sur la base de la dixième partie du temps de lumière de jour, accumulable pour chaque douxième partie d'année et suivant un système de tournée pour qu'il y ait toujours une force de travail stable.
Selon le texte babylonien connu comme «L'Epopée de la Création», les nefilims auraient mis deux ans, travaillant sans repos, pour accomplir la mission suivante:
«Construisez la Porte des Dyaus...
Que l'on élabore son embriquement
Son shem sera à l'endroit désigné.»
Que l'on élabore son embriquement
Son shem sera à l'endroit désigné.»
Ainsi, la première base de lancement fut construite en un lieu nommé Babili (d'où le nom de Babylone), qui signifie littéralement «Porte des Dieux». Pour cela, ils «appliquèrent l'outil... formèrent des briques»- jusqu'à «élever dans les hauteurs le sommet d'Eshagila» («maison des Grands Dieux») y «construisèrent la tour de la plateforme haute comme le Haut Ciel». (Z.Sitchin: "El 12ª Planeta", p.79-80)
Les hommes, le temps passant, auraient eu l'effronterie de tenter de construire eux-même une tour de lancement et un «véhicule aérien» pour voler eux aussi comme les dyaus «au-dessus des toutes les terres habitées».
Suite à ce que la construction de la tour et de la pseudo-fusée qui était en réalité la preuve du désir humain d'"aller au ciel", les dyaus se fâchèrent et décidèrent d'expulser tous les humains des villes qu'ils avaient fondées et qui, maintenant, incluaient de grands jardins (comme les fameux "jardins suspendus de Babylone"). Ainsi, les hommes furent exclus du "paradis terrestre" que de telles cités constituaient pour eux.
Pour qu'ils comprennent une bonne fois qu'ils ne pouvaient aspirer à monter au ciel ni imiter les dyaus, Piter fit tomber sur leur tour un de ses fameux rayons, qui la réduisit en cendres, comme l'aurait fait une bombe atomique mais sans aucun effet de radiation dans les alentours. Ensuite, un "législateur" fut envoyé à tous les campements humains pour rappeler à leurs chefs les lois qui s'imposaient à tous depuis de le début de leur installation en Mésopotamie et pour en dicter de nouvelles.
Une ancienne «tablette de la sagesse» suggérait le comportement suivant:
«Ne fait pas le moindre mal à ton opposant;
à celui qui te fait du mal récompense-le avec du bien.
Même à ton ennemi, qu'il soit fait justice...
Ne laisse pas que ton coeur soit induit à faire le mal...
A celui qui demande l'aumône,
donne-lui aliment pour manger, donne-lui du vin pour boire...
Soit serviciel; fais le bien.»
à celui qui te fait du mal récompense-le avec du bien.
Même à ton ennemi, qu'il soit fait justice...
Ne laisse pas que ton coeur soit induit à faire le mal...
A celui qui demande l'aumône,
donne-lui aliment pour manger, donne-lui du vin pour boire...
Soit serviciel; fais le bien.»
[Image adjointe: La donnée des lois (le fameux "Code d'Hammurabi")]
Comme les néfiliens avaient toujours besoin de vituailles, ils imposèrent aussi aux hommes l'obligation de leur donner la dîme de tout ce qu'ils produisaient et nommèrent des intendants pour réunir les produits. Ils imposèrent de plus un double système de travail obligatoire. Le premier obligeait tous les hommes à dédier au moins cinq ans de leur vie à travailler exclusivement au service des anunnakis. Après cette période pour les hommes et après leurs quatorce ans pour les femmes, le travail pour les dyaus se répartissait sur la base de la dixième partie du temps de lumière de jour, accumulable pour chaque douxième partie d'année et suivant un système de tournée pour qu'il y ait toujours une force de travail stable.